lundi 5 septembre 2016

LE POTAGER D'AGORRETA ; LA GENESE



Bonjour à tous !

Je me rends compte que je suis un peu brouillonne, dans mes derniers articles.
Puisque je suis dans la disposition maintenant de m'amender honorablement, je vais tâcher d'ordonner ma nature impulsive, de manière à vous présenter correctement le déroulé de mes cheminements.
















Ce modeste et néanmoins coquet petit potager actuel est le suc final accouché d'un alambic vieux de plusieurs décennies.
Le poirier que je vous montre dans toutes mes vues de mère-Rhune a été planté l'année suivant ma naissance, au moment où mes parents prenaient la ferme Agorreta.




Cette ferme Agorreta, avec d'autres alentour,  appartenait avant cette époque à la Comtesse Von d'Obberndoff, née Jacqueline d'Aramon, châtelaine d'Orio.




Je vous invite à retourner aux débuts de ce "bloc", il y a près de deux ans maintenant, si vous avez envie de mieux retrouver cette histoire...

Mon père planta ce jeune scion de poirier, pour marquer son territoire. 
Devenir propriétaire de la ferme Agorreta, juste après être devenu père d'une petite fille née après cinq garçons, l'homme était content et fier. Comme je le comprends !

Je reviens ici à mes sources, par instinct, et tout naturellement.
J'ai choisi de conserver le meilleur de mon histoire, de celle des miens et de celle de nos terres.

Je vous racontais comment, ces trois dernières années,  j'avais commencé ce voyage "initiatique", en initiant, justement, un potager à la jardinerie, là où je travaille.
Je vous ai livré un ou autre article relatant cette initiative, de façon bien peu méthodique et organisée. Moi qui crois l'être tant, pourtant !

Je reprends aujourd'hui le fil de l'histoire à son début, comme je l'ai fait avec celle de ma famille.

Je vais vous présenter mes articles concernant le potager de la jardinerie au fil des saisons.
Et je vais les relire en même temps que vous, pour y retrouver la trame de mon parcours, et vous livrer les enseignements que j'en retirerai.

Si vous voulez bien me suivre, ce nouveau périple s'intitulera : le potager d'Agorreta. 

Vous y trouverez toute la fantaisie de mon imagination parfois fiévreuse, et toute la poésie des gens simples de mon sang, quand ils parlent de ce qui les fonde.


Comme ceci paraît limpide, n'est-ce pas ?
Je vous le dis, je suis en grande évolution positive, ces temps-ci !
Pardonnez mes errances résiduelles,  je suis humaine et faillible...

Et pleine de foi en la bonne nature humaine, quand on sait la deviner derrière les ombres de ses crépuscules :








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