lundi 20 avril 2015

GALZERDI, JOUR II



En ce magnifique lundi d'après orage, bonjour à tous !





Après la petite secousse brève mais percutante de samedi, nous voici revenus au calme.
Les quelques nuées du matin se dissipent rapidement.

A Agorreta, l'occupation de ce matin, c'est évidemment la première sortie de notre nouvelle-née Galzerdi.



Présentation à la famille, humage, inspection des unes et des autres, sous l’œil vigilant de la mère, Bigoudi.

La première heure où la tempête hormonale en elle lui brouillait l'entendement est oubliée.
Elle se montre parfaite, attentive, sans être exclusive.

Vraiment, cette bête ne me déçoit pas !










Pollita s'intéresse, toujours sereine.

Son tour est tout proche, en principe.
















Le maître d'Agorreta surveille tout ça de près.

Ses petits assistants aussi.

Les premières courses commencent à fatiguer notre petite Galzerdi.







Pour la présentation aux cousines, elle est déjà couchée.

Mon navet follet, ébouriffé par l'averse de grêle de samedi, se montre bien vaillant, lui aussi.

Il a du mal à relever ses feuilles déchiquetées,  mais hisse encore bravement ses hampes florales, ou ce qu'il en reste...










Tiens, cette petite niche sous le balcon fait parfaitement l'affaire de Galzerdi.

Elle s'y installe bien confortablement.

Vous voyez son petit cœur blanc sur le front noir ?
Et ses chaussettes blanches, vous les apercevez ?
Elle est mignonne notre Galzerdi, non ?





Le cœur blanc sur le front de sa fille, Bigoudi l'a en noir sur la fesse droite.

Une estampille de famille.

Cette jeune maman se relève à merveille de ses couches.
Elle aime à se gratter voluptueusement contre une branche sèche du vieux pommier.

Tant qu'elle tient !






Laissant sa fille en bonne garde, elle descend dans le champ brouter la bonne herbe pour remplir son pis de lait.












Elles se sont mis d'accord avec Zaldi, pour assurer l'intérim.

Allez, je vous laisse ici. Nous nous retrouverons pour le prochain épisode des naissances à Agorreta, avec Pollita.


D'ici là, Zaldi vous salue bien !

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