mercredi 7 octobre 2015

CONSERVATOIRE



Bonjour et bienvenus ici !

Vous savez que j'ai pris ce bon vieux Gegel comme conservateur de moments et d'images que je ne veux pas perdre.

A moins d'une panne informatique fatale et mondiale, je m'assure, à mon idée, ainsi, un 
coffre- fort inviolable, puisque ouvert à tous.

J'ai quelques images venues de haut.  Je vais vous les déposer ici, et vous me les garderez au chaud.
























Ne faites pas attention au désordre. Ne vous étonnez pas non plus de voir le Pic du Midi délocalisé à Agorreta.
Vous le savez, ce genre de fantaisies ne me dérange pas, moi.
J'utiliserai ces belles images, au gré des inspirations et des moments. 
En attendant, repaissez-vous avec moi, et transportez vous par la pensée hors de votre quotidien, du monde et du temps.
De l'altitude, que diable, de l'altitude...

Histoire de revenir sur terre ferme, notre petite mais si précieuse mère-Rhune, ce matin :





Modeste cousine de cet impressionnant  Pic du Midi, elle perd sa tête dans les nuages.
Issue de la même roche, du même élan gigantesque qui souleva la chaîne montagneuse entière, notre Rhune tend son versant le plus équilibré vers Agorreta. 
Sommet fier sans arrogance, pentes douces et harmonieuses, elle veille en sentinelle sur ces débuts de journée que je vous partage.
D'elle aussi, je vous parlerai davantage, une autre fois.

Nous en sommes à ce moment de l'année, où il faut saisir les opportunités des périodes de beau temps pour engranger les récoltes.
Les maïs sont prêts, les épis blanchis, suffisamment secs, et les grains remplis.

Ma betterave doit encore mûrir, et profiter de la substance des dernières feuilles  vertes.
Les courges finissent elles aussi de se gorger de chaleur.
Je laisse faire le temps, maintenant. Par contre, novembre, avec une petite gelée toujours possible alors, demande vigilance. Ce serait dommage de voir partir en eau toutes mes belles promesses, non ?
Les choux et les navets passent l'hiver en terre. Ils ne craignent pas le froid, et constitueront un aliment frais en vert pour mes vaches.

De frais, nous en rêvions presque lundi, avec cette brutale chaleur à contre-saison.
Nous sommes en automne, le temps change vite et radicalement. Tenons-nous prêts !








Lundi soir justement, les cieux changeants offraient un spectacle magique, sur le couchant.











Les riches fulgurances scintillantes ourlaient les masses sombres.

Un spectacle magique.

Le ciel est un grand démocrate. Il propose ses splendeurs à tous.
Il suffit de lever les yeux, et de se laisser imprégner.







On ne peut pas toujours avoir l'opportunité d'être sur les hauteurs des montagnes. Le ciel, grand seigneur, nous partage ses beautés.

Tourner son regard du bon côté suffit, souvent. Pour tous et partout.

Les panoramas les plus grandioses doivent être regardés, pas seulement vus...

Tiens, je pourrais vous faire une série sur les couchants d'Agorreta. 
Vous avez eu les levers de soleil sur bientôt une année. Ça changerait !

Bon, plus tard, ça aussi, peut-être, allez... 
A bientôt, alors, si vous voulez bien me suivre, encore.

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