lundi 26 janvier 2015

DIMANCHE DE FETE !




Bonjour à tous !


Pour mes plus fidèles suiveurs, vous avez du vous demander pourquoi je n'avais rien écrit ce dimanche.

Nous sommes encore en janvier, la jardinerie est fermée, alors, où est passée cette Marie-Louise pourtant si  ponctuelle d'ordinaire ?

Figurez-vous que j'étais de sortie, hier...
Ca m'arrive bien rarement. Alors, quand ça se présente, c'est pour moi une grande occasion.

Et quand, en plus, je retrouve mes deux amies Yvette et Hélène, ça devient la fête !
Je ne vous ai pas parlé d'Hélène et d'Yvette jusqu'ici. Vous vous doutez bien que ça arrivera, plus tard.
Elles ne font pas partie d'Agorreta. Mais elles accompagnent mon parcours depuis plus de vingt ans maintenant.
Ce sont deux anciennes collègues de travail. Aujourd'hui, deux amies.
Yvette est en retraite maintenant. Elle vit à Bidache avec son Jean-Louis de mari.
Elle nous a reçus hier comme des princes. Mes papilles palpitent encore des saveurs dégustées.
Hélène est à Saint-Pierre d'Irube. Elle était venue avec ses deux filles, Flore et Blanche.
Hélène est une petite porcelaine fine et ciselée. Elle paraît fragile et vulnérable. Elle l'est, parfois, mais toujours jusqu'ici, je l'ai vue finir par recoller ses morceaux.
Elle est d'une joliesse surprenante chez une femme de plus de quarante-cinq ans. Comme en plus, elle est vive, amusante et spirituelle, elle rendrait toutes les autres femmes folles de jalousie, si elle n'avait pas cette tendance à collectionner les peines de  cœur.
Mais la vie n'est pas trop mal faite. Les femmes à la séduction très moyenne comme moi, se consolent toujours de n'être pas aussi jolies que leurs amies, en se disant qu'au moins, côté sentimental, leur vie est plus paisible...
Ca n'est pas glorieux, je le sais bien, mais tellement humain !
Allez, je faisais juste cet aparté aujourd'hui. Ma chronique en basque m'appelle aussi.
Et je dois  rattraper leur retard de promenade à mes chiens en manque d'exercice.





 Vous les voyez, frétillants, nerveux et toniques ?

Ils sont sur le départ, prêts pour prendre un minimum d'exercice.

Là encore, leur présence sur mon lit est bien évidemment exceptionnelle.

Comme je l'assure à Olivier, mon mari, jamais au grand jamais, les chiens ne viennent dans la chambre,  allons...





Comme le discret rai de soleil va très vite se faire manger par les nuées sombres partout alentour, je ferai bien de ne pas tarder.

Allez, nous nous parlerons plus longuement la prochaine fois.
Je profite juste de cette page pour remercier encore le destin d'avoir mis sur  mon chemin  Yvette et Hélène, ces deux femmes de cœur et de raison.

A une prochaine. Regardez la petite mère Rhune encagoulée. Si je ne veux pas nous tremper, il faut vraiment que je me décolle vite d'ici !



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